Laveurs, cireurs…

Même pauvre, il y a une dignité à porter des chaussures propres ! C’est la raison pour laquelle, dans la rue, on lave, on blanchit, on teinte… Le client attend, chaussettes à l’air (qui peut se permettre de posséder une deuxième paire ???). Parfois on lave les chaussures « à même le client » et celui-ci repart pieds humides. La mode des chaussures de toile ou de sport n’aura pas éteint la corporation des cireurs : ils se sont adaptés !

Ce contenu a été publié dans Ethiopie, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *